• Le Maître Magicien Negi Ma!

    Le Maître Magicien Negi Ma!

    Le Maître Magicien Negi Ma!

     

                                                                Asuna                        Negi

    Negi est un jeune garçon de 10 ans qui, lors de sa graduation à l'école de sorcier de Wales, c'est vu donner comme mission de devenir professeur dans un lycée pour fille à Mahora. Jeune génie, son but ultime est de retrouver son père, ancien héros ayant sauver le monde magique mais ayant disparu peu après sa naissance. Cette volonté c'est trouvé amplifier par une rencontre, lors d'une attaque de démon sur son village, entre lui et ce qui semblait être son père.

    Donc, plein de bonne volonté et voulant réussir à mission pour devenir un maître magicien, il se heurtera cependant à une grande difficulté: être le professeur titulaire d'une classe de fille de 15 à 16 ans alors qu'il n'en a que 10. Une des lois qu'il doit respecter est de ne pas dévoilé sa vrai nature de magicien, chose qu'il fera dès la première journée en se faisant surprendre pas Asuna Kagurazaka, une fille au grand cœur, à la force bestiale et immunisé à la magie, le tout placer sous le signe de la tsundere. Malgré cela, elle deviendra au fil des aventures son allié le plus important, faisant balancer leur relation entre amitié, romance et fraternité.

    Il découvrira également que sa classe cache une puissante vampire ayant combattu son père, l'héritière du clan de magicien du Kansai, une guerrière Shimeryuu (et oui, élève de Motoko de Love Hina), un cyborg, une martienne venant du futur, une ninja, etc...


    Ken Akamatsu n'a pas manqué son paris lorsqu'il s'est lancé dans l'aventure Negima. Pour une première incursion dans le monde un peu plus Nekketsu, Akamatsu réussi drôlement bien, mieux à mes yeux que plusieurs gros shonens, à créer une intrigue développé et solide. La série se scinde en deux parties, coupé avec le départ au Mondus Magicus. La première partie nous place dans un pantsu très semblable à Love Hina, avec son lot de gags ero et de qui propos. La différence est qu'il y a certains arcs de plus d'un tome et, surtout, la présence de combat qui sont généralement très bien réussi.

    C'est dans la seconde partie cependant que Negima prend son envol. SI l'auteur ne se gêne toujours pas pour nous montrer le dessous des jupes des personnages, cette pratique n'est plus central et les combats s'enchaîne sur un excellent rythme, le tout soutenu par une trame narrative tenant bien mieux la route que d'autre série. En fait, on pourrait même passé que la première partie à donner l'occasion à Akamatsu de retravailler son scénario jusqu'à le rendre proche de la perfection, contrairement aux Naruto et Bleach qui ont dut imporvisé au fur et à mesure des publications..

    Les graphiques sont digne d'Akamatsu: c'est à dire beau, mais un peu redondant. Cette redondance est peut-être plus visible dans Negima puisqu'il doit gérer un classe de 31 filles, chacunes ayant un rôle à jouer. Si sur le point de vue psychologique les filles sont facile à différencié, elles ont tendance à avoir des mimiques très semblables.



    Ensuite, la seconde est lié à l'amour entre des filles de 15 ans et Negi qui en a 10. Et bien, il n'y a pas d'âge pour être un tombeur